Quand le sort s’acharne
Voila maintenant une semaine que je dois taper un poste sur le « combat » opposant Muse aux Inrocks seulement, voilà, je n’ai pas le temps. Il est terrifiant de constater que je pouvais plus souvent me consacrer à ce blog à l’époque ou je travaillais que maintenant, alors que je suis en recherche d’emploi.
Il faut dire que la vie ne me simplifie pas la tache. Comme vous le savez déjà je n’ai plus internet et donc, pour mettre à jour, je suis obligé d’aller chez mes beau parents pour squatter leur connexion. J’ai raconté hier mes galères de disque dur et d’ordi qui refuse de fonctionner.
Dans la continuité de ce début de semaine merdouilleux mon mercredi et mon jeudi furent des jours de fêtes ensoleillés avec des petites fleures, des chatons mignons et des feux d’artifice de bonheur.
Or donc, sur une très sympathique invitation de mon beau frère, qui après avoir passer une soirée à jouer la hotline s’est dévoué pour tenter de réparer mon ordi, je me retrouve dans son appart (à 25 km de chez moi) aux alentour de 20 heures (après 2 heures d’attente car nous avions plus ou moins RDV à 18 heures) pour constater que, chez lui, mon ordi fonctionne parfaitement. Je remballe donc toutes mes affaire, reprend l’autoroute en sens inverse et là, ma vitre latéral coté conducteur explose. Avec mon stoïcisme habituel (dixit la femme qui partage ma vie), je réduit ma vitesse à 100 km/h en pensant « et merde, encore des tas de démarches pour la changer ». Par contre, autant vous dire que quand on paye le péage avec une fente entourée de bouts de verres coupant laissant à peine la place de passer la main, vous laissez la monnaie (heureusement, j’avais l’appoint) et votre stoïcisme vous abandonne.
Après une heure passée à nettoyer au mieux les multiples bouts de verre, je fini la route et rentre chez moi pour, après avoir brancher mon ordi, m’apercevoir que, à nouveau, il refuse de démarrer, à croire qu’il y a quelque chose de très personnel la dedans. C’est très ennuyeux cette impression de « tout ça pour rien » persistante et insistante de votre esprit qui, au moment de vous coucher vous amène à vous demander « pourquoi ? ».
Le lendemain matin, fidèle à mes engagements, je décide de déposer ma petite femme à son boulot en scooter à 9 heures et de me rendre à mon RDV avec ma conseillère emploie à 10. Parfaitement calculé. Sauf que, à mis chemin du premier trajet, le scoot nous lâche ce qui me ramène des années en arrière à pousser un engin devenu inutile sous une pluie diluvienne (et ce qui à permis à ma petite femme de découvrir les joies du stop). Je rentre malgré tout chez moi suffisamment tôt pour enfourcher ma mobylette et tenter d’être à l’heure au rdv. Ce qui aurai été tout à fait réalisable si la mob avait bien voulu démarrer en moins de ¾ d’heures.
Le reste de ma journée fut du coup principalement composé de démarches diverse et de passage chez tout un tas de garagistes.
Aujourd’hui, alors que je devait me mettre à jour sur tout un tas de blog, site, annonce, mails etc, mon beau frère en vacances à besoin de l’ordi pour taper sa thèse sur le nano magnétisme (oui, c’est grave la classe) et donc, je ne lui emprunte l’ordi que quelque seconde histoire de poster mes malheurs. Avec un peu de chance, la semaine prochaine, ce blog retrouve une dimension moins personnel et, enfin, je vous parle de muse et des inrocks.